vendredi 22 janvier 2016

Les histoires cruelles finissent mal (en général)

Les histoires cruelles finissent mal (en général), par Nicolas Cauchy, Belfond

Ce qu'en dit l'éditeur:

Quoi de plus cruel qu'un joli conte de Noël ?
Pourquoi ce cadre d'entreprise tente-t-il désespérément d'effacer son numéro de portable inscrit sur le mur ? Qui sauvera cette jeune fille offerte au caïd local ? Et qui a bien pu souhaiter la mort du grand écrivain si talentueux ?
Cette année, Noël sent le sapin avec les 24 anti-héros de ces Histoires cruelles qui finiront vraiment très mal (en général).
Petits arrangements entre ennemis et bassesses quotidiennes, micmacs de couples à la dérive et vengeances bien macérées : bienvenue dans le monde merveilleux des pères-Noël assassins et des calendriers de l'avent macabres...


Ma cote d'amour: ***** Très enthousiaste

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire