Ce qu'en dit l'éditeur POL:
D’abord, pour commencer, une histoire contemporaine, celle de José, un post-étudiant dont la vie professionnelle repose sur le système D, ce que l’on appelle auto-entreprenariat en jargon de notre époque, un José qui rêve de faire fortune sur internet en vendant des fèves d’Épiphanie aux collectionneurs du monde entier. Mais n’est pas Mark Zuckerberg qui veut. José devra se contenter de donner des cours de maths à domicile, où il sera confronté à son incompétence pédagogique crasse et à des élèves largement plus capables que lui.
Parallèlement, à des milliers d’années de José, quelque part au début du néolithique, son vigoureux ancêtre (qui partage avec son descendant de 2010 un petit bout d’ADN à barbe blonde, joliment bouclée) découvre que sa tribu, où sévit un matriarcat rigoureux, s’apprête à abandonner le nomadisme et la liberté d’aller et venir au profit de l’élevage de capras, ces animaux sales qui font leurs besoins à côté des humains, mais qui sont faciles à attraper et bons à manger.
L’Ambition déploie une galerie de personnages désespérants et attachants malgré tout, dont les épopées personnelles se croisent dans la grande écume des petites ambitions.
Ma cote d'amour: *****
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