Ce qu'en dit l'éditeur:
« Il était une fois… des ados sages comme des images, dans un très prestigieux lycée. L’histoire commence le jour où Léopoldine a cassé avec Timothée pour Aurélien. Ou bien le jour où Tim a envoyé un mail avec des images de Léo à tout le monde.
C’est ici, dans ce très prestigieux lycée, que tout va se jouer. Léo a une journée pour assumer ces images. Mais il faut vite régler cette histoire pour pouvoir penser à autre chose, aux maths et à la physique, à la première S. Parce qu’on ne plaisante pas avec ces choses-là, par ici. On savait que ça ne serait pas une partie de plaisir. Mais on ne pensait pas que cette journée allait se terminer comme ça, à regarder, en plein milieu de la cour, un corps ensanglanté – tout cassé. »
C’est ici, dans ce très prestigieux lycée, que tout va se jouer. Léo a une journée pour assumer ces images. Mais il faut vite régler cette histoire pour pouvoir penser à autre chose, aux maths et à la physique, à la première S. Parce qu’on ne plaisante pas avec ces choses-là, par ici. On savait que ça ne serait pas une partie de plaisir. Mais on ne pensait pas que cette journée allait se terminer comme ça, à regarder, en plein milieu de la cour, un corps ensanglanté – tout cassé. »
– Une fable satirique mordante, sur un sujet rare : les beaux quartiers, le monde impitoyable des ados privilégiés… et déshumanisés.
– Tension et dialogues percutants : l’auteure affûte son arsenal, confirme son talent de « conteuse cruelle » et développe un univers très original.
– À travers le portrait de ces ados pervertis par le système de la réussite à tout prix, une réflexion puissante sur l’image et l’identité à l’ère des réseaux sociaux.
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– Tension et dialogues percutants : l’auteure affûte son arsenal, confirme son talent de « conteuse cruelle » et développe un univers très original.
– À travers le portrait de ces ados pervertis par le système de la réussite à tout prix, une réflexion puissante sur l’image et l’identité à l’ère des réseaux sociaux.
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