Les Ferrailleurs, tome 1: Le château, par Edward Carey, Le livre de Poche, 480 pages
Ce qu'en disent les éditions Grasset:
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux…
Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…
Premier tome d’une trilogie superbement illustrée par l’auteur, Le Château nous plonge dans un univers pareil à nul autre, fantasmagorique et inquiétant, gothique et enchanteur. Edward Carey y révèle des talents de conteur, de dessinateur et de magicien qui font de lui le fils spirituel de Tim Burton et de Charles Dickens.
Ma cote d'amour: ***** Bibliothèque idéale
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