Ce qu'en dit l'Olivier:
« Il est matériellement quasi impossible d’avoir plus de cinq vrais amis. C’est bien pourquoi j’ai limité mon temps-pour-autrui à du temps avec Sally, mes deux enfants (qui habitent des villes lointaines, Dieu merci) et mon ex-femme Ann, qui a élu domicile dans un mouroir chiquissime trop proche de mon domicile pour mon confort personnel. Reste donc un créneau et un seul. Charité bien ordonnée… j’ai décidé de me le réserver ; je serai ainsi mon meilleur et mon dernier ami. »
À soixante-huit ans, Frank Bascombe en a fini avec sa vie d’ancien journaliste sportif et d’agent immobilier. Il coule désormais une retraite paisible dans une ville du New Jersey. Paisible...jusqu’à ce que l’ouragan Sandy vienne frapper à sa porte.
Sincère, touchant, politiquement incorrect, Frank Bascombe, sous la plume incisive et profondément humaine de Richard Ford, demeure l’un des personnages les plus attachants de la littérature américaine.
Ma cote d'amour: ***** Je n'accroche pas
Zut de zut. Comment ça se fait?
RépondreSupprimerTu connaissais Frank avant? Sinon, je peux comprendre qu'il agace et tape sur les nerfs.
Pour ma part, c'est parce qu'il est comme un vieil ami (que j'endure) que j'ai accroché.
Non, c'est la première fois que je lis Richard Ford. J'ai eu beau me concentrer, il n'y a rien eu à faire, je suis restée en dehors de l'histoire.
SupprimerÇa explique tout, alors. J'avoue que sans avoir lu les opus précédents, il n'est pas facile de sympathiser avec ce roman. J'espère que ce n'est pas moi qui t'avais donné envie de le lire?!
SupprimerNon, ne t'inquiète pas. Ce jour-là, j'ai - encore! - succombé à un présentoir affriolant chez mon libraire...
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