La ville, Les Ferrailleurs, tome 3, Edward Carey, Grasset, 576 pages
Ce qu'en dit l'éditeur:
Une nuit perpétuelle envahit Londres. L’étrange famille Ferrayor a laissé derrière elle les ruines fumantes de Fetidborough pour s’installer dans la capitale. Depuis leur emménagement, la jeune Eleanor et les Londoniens observent d’étranges phénomènes : des disparitions, des objets qui apparaissent, d’autres qui se transforment. Et cette obscurité qui règne à présent.
La police est à la recherche des Ferrayor pour essayer d’éradiquer le fléau, et tous les moyens sont bons pour mettre la main sur ces dangereux personnages. Le jeune Clod va devoir choisir son camp, déchiré entre sa famille et les habitants de Londres, entre ses affreux semblables et la ville qui ne survivra pas aux ténèbres. À moins que la lumière ne vienne finalement d’un amour que Clod pensait enseveli…
Dernier volume de la « Trilogie des Ferrailleurs », La Ville tient toutes ses promesses en concluant l’incroyable épopée de la famille Ferrayor. Après Le Château et Le Faubourg, Edward Carey déploie tout son talent d’écrivain et de dessinateur au service d’un univers inoubliable.
Ma cote d'amour: ***** Bibliothèque idéale
Commentaire spontané: Si triste de fermer le dernier volet cet univers étrange et envoûtant. Une trilogie exceptionnelle d'originalité.
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