mardi 7 juillet 2020

Turbulences


David Szalay, Albin Michel, 198 pages

Présentation par l'éditeur:

« Un livre magistral, d'une intensité saisissante. »
The Washington Post

Douze vols, douze voyageurs en transit à travers la planète, douze destins individuels liés les uns aux autres. Après Ce qu'est l'homme, finaliste du Man Booker Prize, l'écrivain britannique David Szalay nous emmène aux quatre coins du monde, explorant ce lieu de passage par excellence qu'est l'aéroport. De Londres à Madrid, de Dakar à São Paolo, à Toronto et à Doha, ce sont des fragments d'existence qui tissent le récit pour finalement se rejoindre. Avec une impressionnante économie de moyens et une grande subtilité, Szalay en saisit l'essence, captant chez chacun de ces êtres, en suspens à des milliers de mètres d'altitude, les zones de turbulences auxquelles la vie les expose.
En offrant une vision panoramique en perpétuel mouvement, Turbulences esquisse un portrait de l'humanité en temps de crise, et nous interroge sur notre place et notre rapport aux autres dans ce vaste réseau interconnecté qu'est le monde d'aujourd'hui.

Rabat bio

David Szalay, né en 1974 à Montréal et élevé à Londres, vit à Budapest. Il a été sélectionné par Granta comme l'un des romanciers britanniques les plus talentueux de sa génération. Son précédent roman, Ce qu'est l'homme, traduit dans une quinzaine de langues, a été récompensé par le Plimpton Prize for Fiction et le Gordon Burn Prize. Turbulences, qui a rencontré un immense succès critique en Grande-Bretagne et aux États-Unis, confirme sa singularité sur la scène littéraire anglo-saxonne.


Combien ce livre a fait battre mon cœur: ❤️❤️
Commentaire spontané:
Un livre malin qui aborde des tas de thèmes sociétaux en un temps record, mais à mon avis, un livre vite lu et vite oublié.
Sur le même principe, l'auteur aurait pu développer un peu plus les personnages et leurs situations. Le parti pris, qui était sans doute de montrer que la vie moderne aspire les évènements dans son vortex insatiable, qu'il se passe sans cesse quelque chose qui s'imbrique dans autre chose, je le comprends, mais il m'est vraiment resté un goût de trop peu en refermant ce livre, c'est pourquoi j'ai envie de dire à David Szalay que sur ce coup-là, il a été un peu léger.

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