Ce qu'en dit l'éditeur:
« Il arrive, quand on écrit des histoires, en particulier des histoires pour les enfants, que l’on soit amené à les rencontrer, et à parler de ces histoires avec eux. Souvent ils posent des questions. Pour y répondre, il nous faut nous tenir sur le terrain de la simplicité. Quelques mots, quelques images qui, avec le temps, finissent par accompagner notre travail et l’aident à tenir. » - Olivier de Solminihac
Régulièrement questionné au sujet de son travail d’écrivain, Olivier de Solminihac s’adresse ici à ses lecteurs, qu’ils soient petits ou grands. Ecrit à la première personne, on imagine d’emblée l’auteur répondre en direct à la question secrètement posée : comment fait-on pour écrire une histoire ?
Chez Olivier de Solminihac pour qui la vie se conjugue entre lire et écrire, les associations d’idées s’enchaînent avec précision, simplicité et humour.
Chez Olivier de Solminihac pour qui la vie se conjugue entre lire et écrire, les associations d’idées s’enchaînent avec précision, simplicité et humour.
A la manière d’un exercice de style, l’auteur s’amuse dans la mise en forme de sa réponse, comme si l’on assistait à son élaboration.De « Écrire une histoire, c’est comme faire du bateau » à « c’est comme faire du yaourt aux fruits », ou encore « c’est apprendre un tour de magie », chaque tentative est finalement remise en cause. Comme s’il se reprenait, il la réfute puis la reformule, pour au final obtenir une réponse kaléidoscopique. Loin d’être redondant, Olivier de Solminihac modifie petit à petit le système qu’il a mis en place au départ, ses réponses d’abord succinctes s’allongent jusqu’à former elles-mêmes des histoires...
Ma cote d'amour: ***** J'aime
Commentaire spontané: Je me suis souvent retrouvée dans ces pages.
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